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mardi 20 octobre 2015

Un mot des titres, version "fleur"

Pour ce mois-ci, le mot choisi pour le challenge de Calypso, "un mot, des titres", était FLEUR.
J'ai pu télécharger sur ma liseuse un vieux roman de Michel Zévaco:

FLEURS DE PARIS
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Bon, voilà le mot "fleur" au pluriel!

Michel Zévaco est bien connu pour avoir écrit la série des "Pardaillan" dont j'ai lu un ou deux tomes étant plus jeune. J'avais adoré ces histoires de cape et d'épée où se mêlent intrigues romanesques et Histoire de France. Ce sont des romans très instructifs, notamment sur la période des guerres de religion...

Me voici donc revenue à cet auteur et à l'un de ses tous derniers romans... Qu'allais-je y trouver?

Eh bien tout d'abord, une tout autre époque, bien plus récente, que je n'ai pas pu déterminer avec précision, mais qui me semble plutôt être du début du siècle dernier car on y parle de téléphone et de voitures à moteur...
Comme son titre l'indique, l'intrigue se passe à Paris! Différents quartiers de la ville, surtout Montmartre et Neuilly y sont décrits.
Les personnages sont innombrables (au point qu'on s'y perd parfois un peu!) et pour couronner le tout, certains d'entre eux portent des surnoms, des noms d'emprunt (pour dissimuler leur vraie identité), voire les deux... Ce qui fait qu'on a un peu de mal à savoir qui est qui...
L'histoire se déroule essentiellement dans le milieu de la pègre parisienne de l'époque: de nombreux personnages sont des bandits ou des assassins... Il n'y a pas vraiment de personnage principal, mais le destin de tous est intimement lié et toute action de l'un entraîne des répercussions sur tous les autres. 
Ce livre est donc une suite d'actions-réactions pour assouvir des vengeances, sauver l'être aimé des manigances des uns et des autres, se re-venger et ainsi de suite, jusqu'à un dénouement où certes les "méchants" sont punis, mais pas qu'eux, hélas...
Quant à nos "fleurs", il s'agit de quatre jeunes filles au coeur pur: on pourrait les trouver attachantes ou exemplaires de vertu si elles n'étaient pas d'une naïveté déprimante frôlant parfois la niaiserie... Bien sûr, tout est une question d'époque, de nos jours, les filles ne croient pas tout ce qu'on leur raconte... Mais là, on se demande comment on peut être si "cruche"!
Bref, trahisons, vengeances, amours passionnels, complots et manigances, assassinats, morts qui ne le sont pas (eh oui! c'est complètement abracadabrantesque et plus qu'improbable parfois!), sauvetages in-extremis, haine violente... voilà les ingrédients de ce roman! Cela aurait pu être haletant, plein de suspense...

Mais non! Car tout cela est extrêmement compliqué, emberlificoté, à tel point que l’auteur est parfois contraint de proposer des résumés dont la complexité témoigne de l’enchevêtrement des événements.

Pour ma part, je ne me suis pas forcément régalée, même si, par moment, je n'ai pas vu le temps passer.
Le fait qu'il n'y ait pas de personnage principal empêche de "s'attacher" à un héros (même si j'ai un faible pour le "gavroche" du roman: Zizi Panpan!). Je suis un peu déçue de n'avoir pas retrouvé l'enthousiasme éprouvé lors de la lecture des "Pardaillan"... La lecture de cet ouvrage n'est pas forcément aisée car il regorge d'argot (vu le milieu dans lequel ça se passe) et il n'y a pas de traduction! Il faut laisser faire l'implicite... ce qui aboutit parfois à des confusions: suriner, la rousse, un pante,... (= tuer à coups de couteau (le surin), la police, un bourgeois). Faut s'y connaître en langage familier!!
Les situations sont tellement improbables que je n'ai pas réussi à "me mettre dedans".

Pour en terminer avec ce bouquet de fleurs, il va vite faner et ne restera pas dans mes annales...
Ce n'est pas grave, il y a tellement d'autres livres!!

Quel est le mot pour la prochaine fois?  

mardi 1 septembre 2015

Un mot des titres: APRES

Me voici de retour sur le challenge de Calypso "un mot, des titres", avec le mot "après" cette fois-ci.
Je n'ai pas eu besoin de chercher bien loin car dans mes étagères trônait un roman de Guillaume Musso intitulé "Et après".
Je l'ai donc choisi tout d'abord par facilité, mais aussi parce que c'est un auteur que j'ai découvert récemment avec le roman "L'appel de l'ange" que j'avais beaucoup aimé. J'ai donc voulu me replonger dans "l'ambiance Musso"...

Nathan est un jeune avocat américain issu d'une famille modeste qui toute sa vie a lutté pour gravir les échelons. Il est maintenant parvenu au sommet de sa carrière, il est riche, renommé... et divorcé, car son travail acharné l'a petit à petit éloigné de sa femme, Mallory. Ils se connaissent depuis l'enfance et elle lui doit la vie puisqu'un jour, plongeant dans un lac où elle allait se noyer, Nathan l'a sauvée.. mais lui est mort cliniquement. Il est entré dans le tunnel lumineux de la mort imminente mais en est finalement revenu.
Lorsqu'il rencontre un étrange docteur, sa vie bascule: ce médecin prétend qu'il est capable de savoir qui va mourir bientôt et il le prouve à Nathan. Il est un "messager" dont le rôle est de permettre à ceux qui vont s'éteindre de mettre "leurs affaires" en ordre avant le dernier jour. Nathan, ébranlé, pense que ce médecin est venu pour lui annoncer sa mort prochaine. Il décide de tout faire pour retrouver, avant la date fatidique, l'amour de sa femme, qu'il n'a pas cessé d'aimer.
Mais Nathan n'est pas revenu du tunnel lumineux par hasard... et l'on découvre sur la fin du livre quelle mission lui incombera désormais... Celui qui doit partir n'est évidemment pas celui qu'on croit...


Que dire de ce livre? C'est bien la première fois qu'aussi peu de mots me viennent pour donner mon avis sur un roman...
Tout d'abord, j'ai voulu éviter les innombrables livres parlant de la vie APRES la mort (quand j'ai fait une recherche sur le net des livres ayant ce mot dans leur titre, je ne trouvais que ça!) et malgré tout, c'est quand même un roman qui en parle!! Donc raté!
De plus, ce livre nous promet "une histoire d'amour et de suspense, une course vers l'inconnu qui se lit avec la gorge nouée mais l'envie irrésistible de tourner la page pour connaître la suite." Ce n'est pas vraiment ce que j'ai éprouvé.
En fait, ce livre me laisse tout bonnement indifférente. Je n'ai pas eu de ressenti particulier en le lisant, ce fut une lecture assez neutre... ce qui pour moi est très décevant. Peut-être n'étais-je pas dans le bon état d'esprit lorsque je l'ai lu, peut-être n'ai-je pas compris toutes les subtilités de l'histoire...
Toujours est-il qu'il ne restera pas dans mes annales...

Et vous qui l'avez lu? Qu'en pensez-vous?

Rendez-vous pour la prochaine session avec le mot "fleur".

Quant à moi, je propose le mot "danse" pour une prochaine fois!

lundi 4 mars 2013

Un mot, des titres, session suivante...



Contrairement à ma twirlette, qui, en fillette de 9 ans, très organisée, avait écrit son billet (ici) il y a plus de 3 semaines (!), je suis absolument en retard pour le mien!

Pour le mot "roi", voici ce que j'ai choisi de lire:


C'est un roman que j'avais déjà lu lorsque j'étais en 3ème (ça date!). Je devais avoir 14 ans et j'avais été complètement fascinée par ce bouquin, au point de l'avoir presque complètement achevé dans la soirée.
Je me faisais une joie de revivre cette expérience jubilatoire... sauf que je n'ai plus 14 ans! Et que j'ai mis près d'un mois à le lire!!!!

Jimbo Farrar, informaticien américain de génie, au QI super développé, découvre un jour sur son topissime ordinateur "Fozzy", une série de 7 "dessins" représentant tous les 7 des points disséminés sans logique apparente. Une fois assemblés ces 7 dessins révèlent une phrase "where are you?". Ces 7 dessins ont été produits par 7 enfants, testés comme tous les enfants américains de 5 ans, par une grosse société financière en quête de petits génies à former pour en faire des collaborateurs hors pairs à l'âge adulte.
Jimbo est plus que troublé; il l'est encore plus lorsque, 10 années plus tard, rassemblés pour la soirée inaugurale de l'ouverture de l'université qui va former tous les génies découverts et recrutés dans tous les Etats-Unis, les 7 adolescents d'une intelligence prodigieuse, sans jamais s'être rencontrés, se reconnaissent et fusionnent vibratoirement, y compris avec Jimbo.
Malheureusement, à l'issue de la soirée, après avoir fait une escapade à Central Park, les 7 se font agresser par des voyous. Leur intelligence, qui dépasse de bien loin celle de Jimbo, bascule alors du "côté obscur de la force". Ils mettent alors tout en oeuvre pour assouvir leur vengeance, non pas contre les voyous qui les ont agressés, mais contre le monde entier, qui ne les comprend pas, qu'ils trouvent lent, stupide et tellement prévisible. S'ensuit une série de vols de montants fabuleux, puis le premier assassinat. En viendront bien d'autres par la suite, les 7, guidés par l'un des leurs qui a des envies d'apocalypse, ne laissent aucune preuve.
Mais Jimbo est là, qui veille au grain et fera tout pour les arrêter, surtout que les 7 menacent de tuer sa femme....


Ce livre a été récemment adapté au cinéma sous le titre "the prodigies". Je ne l'ai pas vu et je me demande bien ce que ça peut donner. En effet, si le film suit fidèlement le livre, on risque de s'ennuyer un max parce que le livre est parfois saoûlant avec la description de toutes les actions bancaires opérées pas les 7 lors des vols; moi en tous cas, j'étais perdue dans ce vocabulaire pas du tout familier. Idem pour tous les déplacements effectués par le héros dans tout l'histoire: on finit par s'y perdre. Idem pour le temps et les retours en arrière. Tout est beaucoup trop circonstancié, au détriment peut-être des descriptions des personnages: les 7 sont en effet presque totalement occultés. On connaît à peine leurs prénoms! Quant à leur desciption physique ou psychologique, elle est plus que sommaire, à part "celui qui ressent de la haine" et qui s'appelle Gil (ce que l'on sait 3 pages avant la fin...).
Bref, je me demande comment j'ai pu kiffer un tel livre à l'époque...où j'avais l'âge des héros (ceci expliquant sans doute cela!). Pourtant, la thématique est originale, le personnage de Jimbo hyper attachant et la lecture aisée. Néanmoins, je trouve que la fin tombe un peu à plat, je n'ai pas eu la réponse à mes questions (quid du "where are you?). C'était probablement implicite et je n'ai pas su décoder ou peut-être n'est-ce pas du tout dit et là je suis carrément frustrée!

Je m'en vais essayer de voir le film, peut-être m'apportera-t-il un éclairage? Néanmoins, l'affiche du film laisse présager d'une ambiance "super-pouvoirs de super-héros" ce qui ne m'a pas semblé être le cas dans le livre (ou alors je n'y ai rien compris!)

Bref, j'espère choisir un livre plus palpitant pour la prochaine session qui portera sur le mot "rêve".

vendredi 1 mars 2013

Le roi et les mangeurs de nuages


C'est l'histoire ( extraordinaire ) d'un roi qui s'appelait Isidore-Trois Fois-Trois-Neuf.
Ce roi voulait que tout soit bien.
Un jour, il trouva que les personnes de plus de 20 ans paraissaient vieilles, alors il décida qu'elles devaient porter un masque.
Les personnes malheureuses se déplaçaient sous la pluie. Et le roi décida qu'il fallait faire soleil tout le temps, alors il fit venir quelques géants pour chasser les nuages. Ils devaient trouver une solution pour chasser les nuages. Le dernier géant l'emporta. Il avait mangé les nuages!! Bientôt, sans eau, les puits se retrouvèrent à sec et les habitant n'eurent plus d'eau.
Un matin Isidore-Trois-Fois-Trois-Neuf fut réveillé par le silence. Il sortit et vit qu'il n'y avait personne dans les rues. Alors il croisa une personne agée qui n'avait pas de masque.
" Pourquoi n'y a-t-il personne dans les rues ? questionna le roi.
- Car vous faites du mal monsieur le roi, mais vous ne vous en rendez pas compte ! Vous leur avez dit d'aller pleurer ailleurs s' ils avaient envie... Et c'est ce qu'ils ont fait, ils sont partis dans la montagne. Vous n'êtes toujours pas content ? répondit celui-ci
- Mais... Mais...
- Ils sont malheureux avec vous, ils ne veulent plus de vous."
Le roi se rendit enfin compte de ce qu'il avait produit comme dégâts et demanda au vieil homme s' il pouvait chasser le géant et faire revenir la pluie. Et il y arriva !! Soudain les habitant du village attirés par les gouttelettes, descendirent de la montage pour danser sous la pluie. Tout le monde enleva son masque.
" Tu crois leur avoir redonné leur visage. Ils ne l'avaient pas perdu. C'est seulement toi qui viens de retrouver le tien..." dit seulement le vieil homme.

Ecrit par Pauline (10 ans)

mardi 15 janvier 2013

Challenge un mot, des titres: session "ombre"

Voici mon choix pour cette session portant sur le mot "ombre"
 
Suite à un accident qui le laisse défiguré et aveugle, Hermantier, un ingénieur qui dirige son entreprise d'une main de fer, va passer sa convalescence en Vendée, dans sa maison secondaire. Entouré de sa femme, son frère, son associé et son chauffeur, il pense se rétablir vite et retourner à Lyon gérer son usine. Mais des faits troublants viennent perturber sa tranquillité.  Peu à peu, il en vient à douter de ceux qui l'entourent. Il pense au début qu'on lui cache quelque chose, que son cas est plus critique qu'il n'y paraît, qu'il va bientôt mourir et qu'on ne veut pas lui dire... Mais la paranoïa s'en mêle et dans sa tête, la théorire du complot tisse sa toile gluante, étouffante... veut-on le déposséder de tous ses biens? Pourquoi son frère quitte-t-il la maison du jour au lendemain? Pourquoi la prise de courant sur laquelle il branche son rasoir n'est plus à l'endroit où il la trouve d'habitude? Pourquoi sa femme a-t-elle mis un crêpe à son chapeau? Et aussi, pourquoi sent-il l'odeur des pins alors qu'il n'y en a pas en Vendée...
 
Ce roman de Boileau et Narcejac, auteurs que je ne connaissais que dans le cadre de romans de jeunesse (Sans-Atout), fait effectivement monter la tension et le suspense. Mais le résumé de l'éditeur qui promet un coup de théâtre final me laisse un peu sur ma faim: en effet, soit j'ai sauté une page, soit je suis moi aussi aveugle, parce que je n'ai vu aucun coup de théâtre et pour moi, l'histoire finit super mal pour le "héros". Je suis un peu déçue par  la fin qui selon moi n'en est pas une (On n'a pas la réponse à la question cruciale: Hermantier est-il parano ou le complot est-il avéré?).
 
On ne peut pas aimer tout ce qu'on lit; disons que ce livre-là ne restera pas dans mes annales (d'ailleurs, lu il y a plus d'un mois, je ne me rappelle déjà plus le nom du personnage principal...J'ai dû relire le début pour le retrouver: la honte!).
Finalement, et c'est peut-être pour ça que je l'aime tant, la littérature de jeunesse m'apporte la satisfaction de fins de romans tranchées ou, si elles ne le sont pas, elles laissent du moins à rêver, ce qui est loin d'être le cas des "Visages de l'ombre".
 
Conclusion: BOF! 
 
 
Le prochain mot est le mot ROI!
J'ai plein d'idées, ça va être cool!
 
Pour la prochaine session, je propose le mot COEUR

Sophie et la forêt des ombres ( le roi gobelin )

Passionnée de skate- board et d'aventures, Sophie et son ami Sam ont trouvé une clé qu'ils s'amusent à cacher dans une forêt non loin de chez eux. Sophie retrouve la clé. Mais quand vient le tour de Sam la clé n'est plus là où l'avait cachée Sophie.
" Enfin nous allons ouvrir cette maudite porte ! " dit une voix qui sort de la forêt.

Le jour de l'anniversaire de Sophie et de son frère jumeau Antony, Sophie ne reçoit rien de son grand-père  ( elle vit avec lui ). Antony a des milliers de cadeaux car son grand-père le préfère. Au moment d'aller à la sieste, son grand- père vient la voir et lui dit:
" Sophie, pour chaque anniversaire de ses dix ans à chaque génération on donne le rôle de gardien de la porte des ombres.
- De la porte des ombres ?
- C'est une porte qui protège le monde de certains monstres je vais te montrer une clé qui permet d'ouvrir cette porte il ne faut surtout pas qu'ils s'en emparent. Mais même si ils l'ont il ne savent pas qu'il y a six diamants qui sont cachés dans le monde entier, mais attention s'ils en trouvent un seul, ils pourront ouvrir la porte. Viens avec moi..."

Malheureusement, le roi Gobelin a déjà trouvé la clé...


Moi, j'ai bien aimé ce livre car Sophie est un belle et courageuse aventurière et que le suspense  nous pousse à lire la suite (Tome 2: Les créatures des marais).

P la twirleuse, 9 ans

Les aventures de Sherlock Holmes: L'ombre de la mort

Les premières aventures de Sherlock Holmes: L'ombre de la mort

Sherlock Holmes, 17 ans, pensionnaire à l'institut Deepden,  est un très bon étudiant. Ce sont les vacances d'été et Sherlock est envoyé à contre-coeur dans le Holmes Manor, un manoir appartenant à la famille Holmes. La vie est très monotone à Holmes manor, le frère de Sherlock lui a même fait envoyer un précepteur pour continuer à apprendre pendant les vacances. Quelle poisse! Mais son précepteur est un peu... spécial! Lorsqu'il arrive, afin de faire connaissance, Sherlock et lui vont faire une promenade dans les bois. Ils tombent presque aussitôt sur un corps recouvert de bubons. Et si c'était la peste ??? Un livre captivant, du début jusqu'a la fin, un rebondissement toutes les dix pages, ce livre est passionnant. Un terrible complot avec des adversaires redoutables qui ne valent pas la suprême intelligence de Sherlock Holmes. De quoi vous faire trembler sous la couette!!!



R. le twirleur, 12 ans

dimanche 30 décembre 2012

C'est kikiaété gâtée par le PN?

C'est moi!!

Des cadeaux Tilda, youpi!
Merci ma Routenonde, tu sais toujours me faire plaisir! Je t'aime très fort et n'ose pas assez souvent te le dire, mon amie si chère à mon coeur!
                                  
Merci Parrain! Grâce à toi, j'agrandis ma collection de patrons! J'ai du boulot pour toute l'année et plein de nouveautés à tester! Gros bisous!

lundi 15 octobre 2012

Un mot des titres... édition suivante!

Pour moi, c'est la deuxième fois que je participe au challenge proposé par Calypso sur son blog Apertolibro (voir liens).
Il s'agissait cette fois-ci de lire un livre dont le titre comporte le mot "beau" ou "belle". Voici mon choix:

 
 
La belle-mère de Blanche neige, vous vous souvenez, la méchante reine? Et bien elle fait son mea culpa dans ce tout petit roman version journal intime. Non la méchante reine n'est pas morte en tombant dans le précipice, ainsi que nous l'a fait croire Mr Walt Disney! Elle est partie en cure de désintox! Puisqu'elle se shootait à la méchanceté, tout un tas de thérapeutes vont lui réapprendre la gentillesse: de cures de choux de Bruxelles en séances de yoga, de steaks de tofu en ateliers de lâcher-prise, notre Reine (c'est son prénom dans ce livre) va petit à petit laisser son égo de côté et apprendre à pardonner et à se pardonner, à aimer et à s'aimer (sans fard, sans robe sublissime et surtout sans miroir!!). Elle finira par retourner vivre avec tous ceux qu'elle a blessés par le passé mais qui lui pardonneront devant l'étendue du changement qu'elle a opéré (bien que Simplet ait un peu plus de mal...): même Blanche-Neige, devenue une parfaite "cruchasse" lui pardonne, trop occupée qu'elle est à parfaire son bronzage pour dammer le pion à la belle au bois dormant pour le concours de Miss Bronzée!
Et l'amour dans tout ça? Mais oui, elle le rencontrera! Je ne vais quand même pas tout vous dire!

Sachez que ce livre (pour enfant! Je ne m'en suis rendu-compte qu'en le lisant...) aux belles pages violettes (ben oui!) est extrêmement rafraîchissant pour les adultes! Mais ne nous y trompons pas: au delà de l'histoire gentillette, c'est tout une prise de conscience qui s'opère chez Reine et qui pourrait s'opérer en chacun de nous: l'abandon du matérialisme, du paraître et de l'égo pour se tourner vers des valeurs plus profondes: aimer, partager, être... Un beau travail de développement personnel dont chacun d'entre nous pourrait profiter!


Pour la prochaine fois, je propose le mot        âme

samedi 1 septembre 2012

challenge un mot des titres

L'enfant Océan
Jean-Claude Mourlevat

Enseignante en école primaire et maman de 2 enfants de 9 et 12 ans, je lis beaucoup d'ouvrages pour la jeunesse. Je suis toujours à la recherche d'une perle à partager avec mes petits. J'ai découvert Jean-Claude Mourlevat en lisant "La rivière à l'envers", un merveilleux roman plein de poésie, de rêve et d'amour... Je n'ai depuis cessé de lire toutes ses parutions et c'est donc tout naturellement que je me suis tournée vers "L'enfant Océan" pour participer pour la première fois à ce challenge.
Ce livre est une version moderne du "Petit Poucet". Rien n'y manque: les six frères tous jumeaux, le petit dernier qui, bien qu'il ait 10 ans, a la taille d'un enfant de 2 ans (le Poucet), l'ogre, les parents qui veulent se débarrasser de leurs enfants, les petits cailloux, les bottes de 7 lieues...
Mais ne cherchez pas ici la magie ou l'émerveillement du conte de fées de Charles Perrault. Tout, dans ce livre respire le 21ème siècle. Ca aurait pu être drôle, décalé, anachronique, comme cette version du petit chaperon rouge de Rémi Boiron dans "La danse des Mythes": Red Bandana prend son scooter et va chez sa grand'rem pour lui livrer une pizza et discute avec Ali Ben Saloup à un feu rouge...
Bien au contraire, ce n'est pas drôle du tout: ça transpire la zone et le glauque, c'est du "cas social" comme il nous arrive parfois d'en croiser à l'école...
Le père, qui crèverait plutôt que de demander l'aide sociale, qui bat ses gosses, qui va jusqu'à jeter dans le puits le cartable de Yann, notre Poucet, parce qu'il s'est mis en tête de faire ses devoirs, d'étudier: Ah! pas de ça chez moi!La mère qui n'est pas tendre non plus, qui fait taire le chien en lui jetant une poële sur la tête; l'ogre, sadique, qui ne va pas essayer de manger PoucetYann et ses frères, non, mais bien plutôt des les empêcher de manger et de boire en les enfermant dans sa résidence secondaire pendant une semaine entière, sans eau, sans électricité, toutes issues bloquées de l'extérieur...
C'est un vrai drame social qui se joue dans ce livre et ça pourrait être triste à pleurer, déprimant, s'il n'y avait dans tout ce noir une si belle lumière, Yann.
Ce tout petit enfant est un extraterrestre pour les autres, tous les gens qui le rencontrent: il ne parle jamais, pas un mot ne sort de sa bouche (c'est pourtant lui qui va guider ses 6 frères pendant tout le voyage qu'ils vont accomplir jusqu'à l'océan) les petits cailloux, c'est dans sa tête qu'il les a et pas dans ses poches (il est capable de trouver la direction de l'ouest en regardant simplement la couleur de la lumière dans le ciel); c'est le révolté de la famille, celui qui veut se sortir de cette condition critique (par l'étude) celui qui rêve d'autre chose, d'un ailleurs (l'océan et même l'autre côté de l'océan!), d'amour; celui qui ira jusqu'au bout...
Une histoire qu'on pourrait malheureusement lire dans les journaux (qui se complairaient dans les détails sordides dont ils aiment nous abreuver) mais qui, sous la plume de Jean-Claude Mourlevat revêt la lumière de l'espoir et du changement.
Mon fils a lu ce livre alors qu'il avait 10 ans, en CM2 avec sa maîtresse et il l'a beaucoup aimé.
Je n'ai pas un mot précis à proposer pour un futur challenge parce que j'aimerais bien que le titre comporte un ... prénom!! C'est possible ça, Calypso?

mercredi 29 août 2012

A lire absolument !!

Un de ces livres (trop rares à mon goût) dont on se demande pourquoi, mais pourquoi???? on ne l'a pas lu avant!!! Un livre waouhhh! Un qui décoiffe, qui met en transe, qui surprend, qui questionne, qui révèle, qui élève, qui éveille...
Attention aux accros de SF, Barjavel a fait un léger écart de style ici... Je ne m'y attendais pas, vu que je furetais dans le rayon SF de la bibliothèque à la recherche d'une bonne série à la Robin Hobb pour terminer les vacances.... "Tiens, je ne le connais pas ce Barjavel-là... voyons ce que ça raconte.... Ouh là! Mais ce n'est pas un roman, ce n'est pas de la science-fiction!! Mais ça m'a l'air intéressant tout ça..." Et hop, dans mon panier! Trois jours plus tard le livre était dévoré, apprécié et il me faudra toute la vie pour le digérer car malgré son nombre de pages relativement peu important, il est d'une richesse incommensurable!! A mettre entre des mains éveillées... cartésiens s'abstenir!

lundi 27 août 2012

Un mot , des titres

Grâce à ma copinaute Fred, j'ai découvert le blog de Calypso: Apertolibro (voir liens), qui organise un challenge de lecture appelé "un mot des titres". Le principe est simple: un mot est choisi et on participe au challenge en lisant un livre dont le titre comporte ce mot. Ce mois et demi-ci, c'est le mot "enfant". Lorsqu'on a lu son livre, on poste un petit billet où l'on présente le livre en question et dans lequel on exprime son ressenti par rapport à l'ouvrage. Quelle bonne idée! Il y a de nombreux participants et en lisant les billets des autres, on peut découvrir de nombreux ouvrages!
Je posterai mon premier billet pour cette première participation le 1er septembre, date limite. Il me tarde déjà de connaître le prochain mot!
Allez voir! C'est super sympa comme idée!
Bonne fin de vacances à tous!

mardi 22 mai 2012

Cadeaux !!!

Eh oui, j'ai été super gâtée pour mon anniv' ! Mon chéri m'a offert ce super bouquin, avec une douzaine de doudous, très beaux et très originaux, pour me changer des nounours!


J'ai aussi reçu mon kit pour fabriquer "Jade", une jolie poupée Waldorf. Merci mon coeur, je vais pouvoir faire mon premier essai.


Ma petite maman chérie m'a offert un kit pour un doudou en forme de chat.


En bref, que de la couture! Et c'est super parce que c'est justement mon dada du moment!!!
Merci à vous tous mes amours! J'ai du boulot pour toutes les vacances, qui se profilent mine de rien à l'horizon... Plus que 25 jours de classe!
En attendant, je n'ai rien commencé, parce que, fin d'année oblige, j'ai commencé mes évals; Par ailleurs, nous étions en compétition ce week-end: mon grand twirleur est qualifié pour la finale du championnat de France avec ses 2 équipes!! Bravo les jeunes! On est super fiers de vous!!

mercredi 14 mars 2012

Nouveauté dans ma bibliothèque

Le p'tit dernier de ma collec, offert par Sandrine, ma cousine du ch'nord: merci ma biche! Je le potasse et je vous prépare des bons petits desserts pour cet été, quand vous viendrez nous voir! Gros bisous et à toi aussi ma tortue d'amour!!
A l'intérieur, il y a la recette du Ch'tiramisu, avec des spéculos...hhhhmfff! Slurp!

jeudi 2 février 2012

pour bien démarrer la journée...

... découvrez ceci, posé sur votre bureau par une collègue bien sympa! La journée commence bien: il neige, c'est aujourd'hui la chandeleur et on fait des crêpes en classe: les monstres sont hystériques dès 9h00, tout va bien! Heureusement qu'on va pouvoir faire la pause Carambar! Merci Nathalie, ça m'a fait très plaisir!


Bon alors, voilà, il va falloir vous démonter le cou parce que rien à faire, la photo ne veut pas s'insérer dans le bon sens!!

Ce petit bouquin rejoint celui des nounours en guimauve et celui des chamallows que le Père Noël m'a portés. Je vous fait part de mes essais guimauchamarambar très vite!

mardi 31 janvier 2012

Lectures...


Voici ce que je suis en train de lire: la trilogie "hunger games" qui sortira bientôt sur les écrans (mars je crois). Je suis trop fan! J'adore! Le seul souci, c'est qu'il ne faut pas prendre le livre quand on va se coucher vers 23h00 parce qu'on risque de ne plus s'endormir tellement c'est haletant!! Alors, pour ma part, j'attends le week-end pour m'y mettre, du coup je n'en suis qu'au mileu du deuxième...

En attendant, et pour éviter de ne dormir que de 3 à 6 (3h00 c'est l'heure où je me force à éteindre, 6h00 c'est quand le réveil sonne...aïe, ça pique!!), j'ai commencé un autre livre: eh oui, je suis du genre à en lire 3 ou 4 en même temps...
Celui-ci est époustoufflant, mais pas dans le même genre:


Merci ma p'tite maman de m'avoir mis ce livre entre les mains! Je n'en lis que quelques pages par jour, mais j'en sors toute ébouriffée!! Ce livre est extraordinaire pour prendre la pleine mesure des dimensions de l'Univers: les comparaisons de l'auteur sont tout simplement lumineuses:
Extrait:
"Les protons sont si petits qu'une tache d'encre de la taille du point sur ce i peut en contenir à peu près 500 000 000 000, soit bien plus que le nombre de secondes contenues en un demi-million d'années." Là, je dis waouuuuuuhhhhhh!
Autre extrait:
"Le noyau d'une étoile à neutrons est si dense qu'une simple cuillerée de matière pèserait 100 milliards de kilogrammes!"
Un dernier pour finir:
"Notre voisine la plus proche dans le cosmos, Proxima du Centaure (...) se trouve à 4,3 années-lumière, un saut de puce en termes galactiques, mais qui représente cent millions de fois le voyage jusqu'à la Lune. (...) Pour atteindre ne serait-ce que le centre de notre galaxie, il faudrait bien plus de temps qu'il ne s'en est écoulé depuis l'apparition de l'homme."
Si c'est pas explicite ça! Moi, en tous cas, j'adooooore! Et je n'en suis qu'à la page 60! J'imagine juste toutes les merveilles que je vais encore découvrir dans cet ouvrage et je remercie celui qui a inventé les livres et la lecture: c'est trop bonnard!!